Nos réalisations

Ce chantier au Petit-Lancy est l’une des plus importantes surélévations d’immeuble du canton: elle concerne quatre bâtiments sur lesquels deux étages additionnels vont s’apposer. De plus, la géométrie variable des édifices, notamment avec les grandes différences d’élévations, a contribué à l’aspect spectaculaire du projet.

Initialement scindée en différentes étapes pour faciliter la mise en œuvre, la réalisation s’est finalement faite d’une traite pour des raisons de timing. Dans un premier temps, un échafaudage léger a été mis en place avec pour objectif, la surélévation et l’étanchéité du dernier étage.

Ensuite, plus de 2’500m² de toiture provisoire ont été installés.

Enfin, quatre monte-charge-personne, chacun ayant une capacité maximale de 2’000kg, ainsi que trois lifts ont été mis en service. L’un de nos machinistes a été mobilisé sur place durant trois mois pour gérer ces lifts.

Bâtiment emblématique de la ville de Genève, de par sa démesure (44m de haut, 200m de long) et son architecture arrondie, l’OIT est posé comme une grande voile sur les hauts du quartier des Nations. D’importants travaux de rénovation ainsi que la remise aux normes actuelles sont actuellement engagés, les façades devant notamment être restaurées pour améliorer les performances thermiques de l’immeuble tout en gardant son aspect initial (monument classé).

Sur cet objet, plusieurs problématiques complexes et interdépendantes ont dû être résolues: les dimensions colossales, la mise sur console porteuse de l’entier de l’échafaudage, le système d’ancrage dans des coques de façade classées ou encore la logistique des flux continus de matériel et de personnes.

En amont, notre bureau technique a ainsi procédé à un grand nombre de calculs pour déterminer le type d’échafaudage adéquat (léger avec console de 30cm) ainsi que la trame maximale pouvant être utilisée à pareille hauteur. Le choix des consoles porteuses (dimensionnement) et ses ancrages ont également été calculés par nos ingénieurs. En sus, la solution d’ancrage est une réalisation de notre atelier mécanique ou des pièces spéciales ont été produites pour la typologie du chantier.

Pour l’acheminement des personnes, nous avons opté pour quatre lifts rapides pouvant accueillir jusqu’à 14 personnes et pour les matériaux, six monte-charges d’une capacité maximale de 2’000kg ont été sélectionnés. Accessoirement, des plateformes de réception pour le transit des matériaux ont été montées.

Le projet « Flon – Pépinières » rassemble trois bâtiments situés au cœur de Lausanne. L’un des édifices se démarque remarquablement des autres grâce à sa double peau en motif de mosaïque perforée.

Sur ce chantier, l’équipe ECHAMI a dû jongler avec de nombreux types d’échafaudages pour faire face à la typologie complexe de l’architecture. En amont, un rigoureux plan de calepinage a été établi pour le positionnement des ancrages. Puis, des échafaudages légers, garnis de consoles de rattrapages divers ont été montés pour les façades. Barrières de protection à l’intérieur et en toiture, platelages dans les trémies, échafaudages dans les cages d’escalier, ainsi qu’une multiplicité de ponts roulants et ponts de services ont été utilisés.

Enfin, pour permettre aux façadiers de réaliser la deuxième peau, l’échafaudage a dû être réadapté en continu, à mesure de la pose de chaque élément.

Sur le site de l’OMPI, ECHAMI s’est vu attribuer trois lots majeurs d’échafaudages: la construction de la salle de conférence, le remplacement des façades du bâtiment principal et la mise en place de protections intérieures durant les travaux.

La salle de conférence, entièrement en charpente bois et possédant une figure asymétrique se prolongeant sur une façade en porte-à-faux (34m), a contraint l’utilisation de triples échafaudages additionnés de consoles de rattrapage. Pour garantir la parfaite implantation de l’échafaudage, un traçage complet au sol, effectué au préalable, a été nécessaire. Une fois les travaux de façade sécurisés, de gigantesques platelages ont été érigés à l’intérieur, dont certains, en suspension. Ainsi, c’est plusieurs milliers de m² de platelage qui ont été requis.

Un échafaudage léger de 200kg/m² a suffi lors des travaux de remplacement de la façade, la seule difficulté venant de la gestion des ancrages durant chaque phase.

Enfin, pour les protections intérieures, une cloison supplémentaire a été mise en œuvre dans chaque bureau, à chaque étage. Une structure tubulaire a été affixée pour supporter les panneaux afin de permettre l’isolation des lieux, car ceux-ci sont restés en activité durant toute la période du chantier, rajoutant ainsi de nombreuses exigences de finition, de propreté et de timing.

Biopôle, parc scientifique de huit hectares ayant pour but d’accueillir des sociétés principalement actives dans le secteur des sciences de la vie, met à disposition des surfaces pour des utilisations industrielles, de recherche et de développement ou administratives. Premier édifice du campus d’Épalinges, il a été échafaudé sous la direction de Losinger-Marazzi en tenant compte des strictes normes appliquées par le groupe Bouygues.

L’échafaudage sélectionné était de type léger (200kg/m²) et incluait des consoles de rattrapage de 30cm. Un double échafaudage, complété d’un platelage sous dalle a été nécessaire afin de traiter l’énorme porte-à-faux situé pignon nord.

Enfin, en tandem avec les ingénieurs l’étayage a été soigneusement dimensionné pour le collage de la dalle balcon en façade est.

Pour ce nouvel ouvrage de l’Agroscope, centre de compétence de la Confédération suisse pour la recherche agricole, un échafaudage particulier avec console de 30cm a dû être monté à l’avancement des travaux, afin d’assurer la sécurité des maçons lors du coulage des dalles ainsi que d’offrir une solution viable à la pose de la double peau. Certifié Minergie P-Eco, l’édifice a demandé une coordination complexe des interventions, notamment lors de la première phase.

La façade porteuse a été réalisée en bois sur laquelle des verres sérigraphies ont été agrafés. Durant cette seconde étape, l’équipe ECHAMI a procédé à un déplacement d’ancrage permettant la mise en place définitive de la sous-construction du façadier. Une fois les châssis bois glissés entre les têtes de dalle et l’échafaudage, une casquette de 250cm de large a été apposée au sommet de l’échafaudage, et ce sur  toute la périphérie afin de protéger l’ossature bois contre les intempéries. En outre, la pose des verres a nécessité un ultime changement d’ancrage selon un calepinage précis et par tige filetée M12.

En fin de chantier, le démontage s’est effectué, façade par façade.

Principal opéra de la ville de Genève, Le Grand Théâtre, situé sur la place de Neuve, prend place parmi les plus importants théâtres européens en matière lyrique et sa renommée contribue grandement au rayonnement culturel du canton.

La restauration de ce prestigieux monument sera quasi intégrale, concernant en premiers lieux, l’ossature et la toiture. En façade, le remplacement des pierres de taille a imposé un échafaudage de type très lourd (450kg/m²), échafaudage qui a été triplé par zones pour combler les larges avant-toits.

Pour assurer l’étanchéité durant les travaux de ferblanterie et de couverture, la pose d’une toiture provisoire de plus de 5’000m² a été nécessaire. Cette toiture provisoire comportait notamment des portées atteignant 57m de longueur.

Enfin, plus de 2’000m² de platelage de divers acabits ont été réquisitionnés pour la restauration et la pose de la structure suspendue.

Situé proche de la gare de Genève-Cornavin, en bordure des voies de chemin de fer, le siège de VEDIA, maison de vente par correspondance, a subi d’importants travaux de rénovations sur l’entier des deux bâtiments existants (intérieur et façade). En sus, une nouvelle halle industrielle a été construite.

La complexité de l’architecture des bâtiments s’exprimant par une façade à la fois inclinée et de type cassettes Alucobond (isolation, sous-construction et cassettes suspendues), il a été nécessaire de travailler avec différentes profondeurs de consoles sur la base d’un calepinage précis pour les ancrages.

Sur la face sud, la proximité du rail a contraint à un travail de nuit, encadré par des inspecteurs CFF contrôlant les normes de sécurité, ce qui a notamment conduit au dressage de blindages sur le périmètre.

Situé dans le parc d’un quartier en construction, le Centre Scolaire Le-Sapay regroupe une école de 24 classes et différentes typologies d’utilisation: restaurant, aula, salles de gym, piscine, galeries souterraines, etc., autour d’une vaste esplanade.

Indépendamment de l’ampleur du projet, la difficulté du projet découlait d’un timing figé (pour cause de rentrée des classes) et d’étapes très serrées entre les divers intervenants.

L’échafaudage, de type légers (200kg/m²) et comprenant des consoles de rattrapage de 30cm, a dû être monté à deux reprises: une première fois pour le gros-œuvre puis une seconde fois pour la mise en place des préfabriqués. En sus, de gigantesques platelages ont été exécutés au-dessus de la piscine ainsi que pour les éléments techniques de la salle de gym.

Lors de la création d’un nouveau quartier d’habitations sur les hauts de Genève, baptisé « Les Cèdres de Cologny », 32’000m² de surface ont été recouvertes d’échafaudages.  Démarré en 2014 et avec plus  de 262 logements réalisés, il s’agissait du plus gros projet de lotissement sur le canton.

La masse d’échafaudages, pour lequel ECHAMI a assumé le montage et le démontage en moins de 30 mois, a été répartie sur 11 tours différentes. D’ailleurs, la logistique et les flux de transports ont représenté la majeure partie de nos charges: nos équipes ont déplacé plus de 630 tonnes de matériel pour cet ouvrage.

En sus de produire les fournitures et matériaux, un personnel qualifié et extrêmement organisé a été incorporé sur le chantier pour respecter le tempo donné par les sept grues et ainsi assurer la sécurité des quelques 300 ouvriers présents quotidiennement.

Le Barrage de Verbois devant subir des travaux de maintenance, notamment pour le remplacement des dégrilleurs et le traitement des meneaux en béton, celui-ci a été vidé afin d’accueillir une structure de plates-formes suspendues.

De par la dimension atypique de l’ouvrage, des conditions météorologiques difficiles (nuit, pluie) et des exigences techniques très élevées, l’équipe ECHAMI a dû allier discipline et endurance pour venir au bout du chantier. Pour cela, quatre équipes de monteurs ainsi que deux techniciens ont été mobilisés, 24h sur 24, trois semaines durant pour édifier les plates-formes suspendues le long des meneaux, à mesure que le barrage se vidait.

Ces plates-formes suspendues en porte-à-faux de 20m de haut, emballant soigneusement chaque meneau de béton, ont permis d’atteindre la base du barrage, ou les travaux d’assainissement des dégrilleurs ont pu être réalisés.

L’équipe ECHAMI a ainsi étroitement collaboré avec ses interlocuteurs maçons pour respecter un planning minuté et des niveaux fixés au centimètre.